Par les soirs d"été, j'irai dans les sentiers,
picoté par les blés, fouler l'herbe menue;
Réveur, j'en sentirai la fraicheurs à mes pieds
Je laisserai le vent baigner ma tete nue.
je ne parlerai pas, je ne penserai rien :
mais l'amour infini me montrera dans l'ame,
et j'ai loin, bien loin, comme un bohémien,
Par la nature- heureux comme avec une femme
Commentaires
pour ce que je t'ai dit, il faut avoir un peu de patience.. faut pas se prendre la tète.. reviens y plus tard tant que ça marche pas.. lolllllllll..
bonne aprem..
kissouilles.. jean claude..