Voila c'est quelques brins de muguets que j'ai reçut ce matin par une des mamies ou je travaille et je lui en remerci, je lui est meme dis est ce que le mérite et puis elle ma répondue mais bien sur c'est le 1 er mai et c"est pour vous remercié de se que vous faites pour nous. Je les aie remerciés toutes les deux en leurs faisant la bise.
ah ben quel temps pas trés beau c'est deux jours ce qui est dommage avec ce beau soleil que l'ont n'a eux pendant quelques jours voila le vent qui se leve et il fait froid. Mais sa rend quand meme des gens heureux pour faire leurs sport favori avec une mer déchainéemais le soleil est revenu en fin de matiné . Je vous souhaites une bonne journée avec ou sans le soleil biz amitée à tous et toutes
Lorsqu’on doit nettoyer des objets dans la maison qui sont en marbre ou des miroirs et aussi de l’argenterie, on peut le faire naturellement.
Il faut mélanger un peu de blanc d’Espagne avec de l’alcool à 90° ou modifié et enduire les objets avec le mélange. Il suffit ensuite de bien essuyer avec un chiffon doux et sec.
Pour fabriquer un antirides naturel, il faut récupérer le carton d’un rouleau de papier WC.
Dans un bol, mélanger un oeuf, trois grosses cuillères d’huile de coco et une de miel. Mélanger. Scotcher un bout du rouleau et verser le mélange dedans puis mettre l’ensemble au congélateur. Utiliser ensuite à la demande en coupant petit à petit le papier du rouleau. Ce produit se conserve plusieurs mois.
Temps total: 50 mn
Temps de préparation: 0 minute
Temps de cuisson: 50 minute
Difficulté de la recette: Recette [niveau inconnu]
Note de la recette : 1
Nombre de personnes : 8
Préparation
Faire chauffer dans une poêle l'huile, ajouter la gousse d'ail hachée et les crevettes. Saler, poivrer. Faire cuire pendant 3 minutes. Ajouter 1c.à.s de jus de citron et retirer du feu. Décortiquer les crevettes.
Dans une autre poêle faire chauffer l'huile d'olive et faire revenir le chorizo à feu vif. Ajouter un peu d'eau et laisser cuire pendant quelques minutes. Egoutter et couper en morceaux.
Découper les feuilles de brick en disques de 20cm de diamètre. Les disposer deux par deux dans des ramequins beurrés. Dorer à l'oeuf battu.
Enfourner à 180° C pendant 15min. les feuilles doivent devenir dorées et croustillantes.
Laver, éplucher et dénoyauter l'avocat. Le couper en dés, ajouter le jus de citron aux morceaux d'avocat.
Remplir les croustillants de tranches de fromage, de dés de feta, de morceaux de mozzarella et d'avocat, de morceaux de chorizo et de crevettes.
Servir aussitôt.
Préparation : 20 min
Cuisson : 1h
Ingrédients (pour 6 personnes) :
- 6 cuisses de poulet fermier
- 1 oignon
- 50 g de beurre
- 10 cl de bière blonde (de garde type 3 monts de préférence)
- 250 g de maroilles
- 50 cl de crème fraîche épaisse
- sel et poivre
Préparation :
Couper finement l’oignon. Saler légèrement et poivrer chaque cuisse de poulet.
Faire fondre le beurre dans une cocotte. Y faire revenir l'oignon coupé. Réserver.
Ajouter les cuisses de poulet et les faire dorer. Ajouter ensuite les oignons. Mouiller avec la bière puis couvrir.
Laisser cuire 45 minutes à feu moyen.
Si le jus réduit trop, ajouter un peu d’eau.
Ecroûter le Maroilles (facultatif, cela dépend des goûts) puis le couper en petits morceaux.
Ajouter le Maroilles à la crème fraîche et mélanger le tout.
Quand le poulet est cuit, ajouter le mélange Maroilles + crème fraîche. Laisser le Maroilles fondre pour obtenir une sauce onctueuse.
J'espérais bien pleurer, mais je croyais souffrir
En osant te revoir, place à jamais sacrée,
O la plus chère tombe et la plus ignorée
Où dorme un souvenir !
Que redoutiez-vous donc de cette solitude,
Et pourquoi, mes amis, me preniez-vous la main,
Alors qu'une si douce et si vieille habitude
Me montrait ce chemin ?
Les voilà, ces coteaux, ces bruyères fleuries,
Et ces pas argentins sur le sable muet,
Ces sentiers amoureux, remplis de causeries,
Où son bras m'enlaçait.
Les voilà, ces sapins à la sombre verdure,
Cette gorge profonde aux nonchalants détours,
Ces sauvages amis, dont l'antique murmure
A bercé mes beaux jours.
Les voilà, ces buissons où toute ma jeunesse,
Comme un essaim d'oiseaux, chante au bruit de mes pas.
Lieux charmants, beau désert où passa ma maîtresse,
Ne m'attendiez-vous pas ?
Ah ! laissez-les couler, elles me sont bien chères,
Ces larmes que soulève un coeur encor blessé !
Ne les essuyez pas, laissez sur mes paupières
Ce voile du passé !
Je ne viens point jeter un regret inutile
Dans l'écho de ces bois témoins de mon bonheur.
Fière est cette forêt dans sa beauté tranquille,
Et fier aussi mon coeur.
Que celui-là se livre à des plaintes amères,
Qui s'agenouille et prie au tombeau d'un ami.
Tout respire en ces lieux ; les fleurs des cimetières
Ne poussent point ici.
Voyez ! la lune monte à travers ces ombrages.
Ton regard tremble encor, belle reine des nuits ;
Mais du sombre horizon déjà tu te dégages,
Et tu t'épanouis.
Ainsi de cette terre, humide encor de pluie,
Sortent, sous tes rayons, tous les parfums du jour :
Aussi calme, aussi pur, de mon âme attendrie
Sort mon ancien amour.
Que sont-ils devenus, les chagrins de ma vie ?
Tout ce qui m'a fait vieux est bien loin maintenant ;
Et rien qu'en regardant cette vallée amie
Je redeviens enfant.
O puissance du temps ! ô légères années !
Vous emportez nos pleurs, nos cris et nos regrets ;
Mais la pitié vous prend, et sur nos fleurs fanées
Vous ne marchez jamais.
Tout mon coeur te bénit, bonté consolatrice !
Je n'aurais jamais cru que l'on pût tant souffrir
D'une telle blessure, et que sa cicatrice
Fût si douce à sentir.
Loin de moi les vains mots, les frivoles pensées,
Des vulgaires douleurs linceul accoutumé,
Que viennent étaler sur leurs amours passées
Ceux qui n'ont point aimé !
Dante, pourquoi dis-tu qu'il n'est pire misère
Qu'un souvenir heureux dans les jours de douleur ?
Quel chagrin t'a dicté cette parole amère,
Cette offense au malheur ?
En est-il donc moins vrai que la lumière existe,
Et faut-il l'oublier du moment qu'il fait nuit ?
Est-ce bien toi, grande âme immortellement triste,
Est-ce toi qui l'as dit ?
Non, par ce pur flambeau dont la splendeur m'éclaire,
Ce blasphème vanté ne vient pas de ton coeur.
Un souvenir heureux est peut-être sur terre
Plus vrai que le bonheur.
Eh quoi ! l'infortuné qui trouve une étincelle
Dans la cendre brûlante où dorment ses ennuis,
Qui saisit cette flamme et qui fixe sur elle
Ses regards éblouis ;
Dans ce passé perdu quand son âme se noie,
Sur ce miroir brisé lorsqu'il rêve en pleurant,
Tu lui dis qu'il se trompe, et que sa faible joie
N'est qu'un affreux tourment !
Et c'est à ta Françoise, à ton ange de gloire,
Que tu pouvais donner ces mots à prononcer,
Elle qui s'interrompt, pour conter son histoire,
D'un éternel baiser !
Qu'est-ce donc, juste Dieu, que la pensée humaine,
Et qui pourra jamais aimer la vérité,
S'il n'est joie ou douleur si juste et si certaine
Dont quelqu'un n'ait douté ?
Comment vivez-vous donc, étranges créatures ?
Vous riez, vous chantez, vous marchez à grands pas ;
Le ciel et sa beauté, le monde et ses souillures
Ne vous dérangent pas ;
Mais, lorsque par hasard le destin vous ramène
Vers quelque monument d'un amour oublié,
Ce caillou vous arrête, et cela vous fait peine
Qu'il vous heurte le pied.
Et vous criez alors que la vie est un songe ;
Vous vous tordez les bras comme en vous réveillant,
Et vous trouvez fâcheux qu'un si joyeux mensonge
Ne dure qu'un instant.
Malheureux ! cet instant où votre âme engourdie
A secoué les fers qu'elle traîne ici-bas,
Ce fugitif instant fut toute votre vie ;
Ne le regrettez pas !
Regrettez la torpeur qui vous cloue à la terre,
Vos agitations dans la fange et le sang,
Vos nuits sans espérance et vos jours sans lumière :
C'est là qu'est le néant !
Mais que vous revient-il de vos froides doctrines ?
Que demandent au ciel ces regrets inconstants
Que vous allez semant sur vos propres ruines,
A chaque pas du Temps ?
Oui, sans doute, tout meurt ; ce monde est un grand rêve,
Et le peu de bonheur qui nous vient en chemin,
Nous n'avons pas plus tôt ce roseau dans la main,
Que le vent nous l'enlève.
Oui, les premiers baisers, oui, les premiers serments
Que deux êtres mortels échangèrent sur terre,
Ce fut au pied d'un arbre effeuillé par les vents,
Sur un roc en poussière.
Ils prirent à témoin de leur joie éphémère
Un ciel toujours voilé qui change à tout moment,
Et des astres sans nom que leur propre lumière
Dévore incessamment.
Tout mourait autour d'eux, l'oiseau dans le feuillage,
La fleur entre leurs mains, l'insecte sous leurs pieds,
La source desséchée où vacillait l'image
De leurs traits oubliés ;
Et sur tous ces débris joignant leurs mains d'argile,
Etourdis des éclairs d'un instant de plaisir,
Ils croyaient échapper à cet être immobile
Qui regarde mourir !
Insensés ! dit le sage. Heureux dit le poète.
Et quels tristes amours as-tu donc dans le coeur,
Si le bruit du torrent te trouble et t'inquiète,
Si le vent te fait peur ?
J'ai vu sous le soleil tomber bien d'autres choses
Que les feuilles des bois et l'écume des eaux,
Bien d'autres s'en aller que le parfum des roses
Et le chant des oiseaux.
Mes yeux ont contemplé des objets plus funèbres
Que Juliette morte au fond de son tombeau,
Plus affreux que le toast à l'ange des ténèbres
Porté par Roméo.
J'ai vu ma seule amie, à jamais la plus chère,
Devenue elle-même un sépulcre blanchi,
Une tombe vivante où flottait la poussière
De notre mort chéri,
De notre pauvre amour, que, dans la nuit profonde,
Nous avions sur nos coeurs si doucement bercé !
C'était plus qu'une vie, hélas ! c'était un monde
Qui s'était effacé !
Oui, jeune et belle encor, plus belle, osait-on dire,
Je l'ai vue, et ses yeux brillaient comme autrefois.
Ses lèvres s'entr'ouvraient, et c'était un sourire,
Et c'était une voix ;
Mais non plus cette voix, non plus ce doux langage,
Ces regards adorés dans les miens confondus ;
Mon coeur, encor plein d'elle, errait sur son visage,
Et ne la trouvait plus.
Et pourtant j'aurais pu marcher alors vers elle,
Entourer de mes bras ce sein vide et glacé,
Et j'aurais pu crier : " Qu'as-tu fait, infidèle,
Qu'as-tu fait du passé? "
Mais non : il me semblait qu'une femme inconnue
Avait pris par hasard cette voix et ces yeux ;
Et je laissai passer cette froide statue
En regardant les cieux.
Eh bien ! ce fut sans doute une horrible misère
Que ce riant adieu d'un être inanimé.
Eh bien ! qu'importe encore ? O nature! ô ma mère !
En ai-je moins aimé ?
La foudre maintenant peut tomber sur ma tête :
Jamais ce souvenir ne peut m'être arraché !
Comme le matelot brisé par la tempête,
Je m'y tiens attaché.
Je ne veux rien savoir, ni si les champs fleurissent;
Ni ce qu'il adviendra du simulacre humain,
Ni si ces vastes cieux éclaireront demain
Ce qu'ils ensevelissent.
Je me dis seulement : " À cette heure, en ce lieu,
Un jour, je fus aimé, j'aimais, elle était belle. "
J'enfouis ce trésor dans mon âme immortelle,
Et je l'emporte à Dieu !
Se sentir aimé est un état de bonheur intense Et lorsque lon partage en retour ce même sentiment damour Chaque jour se vit dans un plaisir extrême. je t'aime
Je t'aime
Un sentiment qui naît au fond de l'âme au fond des yeux, un bien qu'il faut posséder, un bien qu'il faut donner, un mystère
Ingrédients:
Gâteau de Pâques au chocolat.
= Faire une génoise (recette ci-dessous) et la cuire dans un moule carré à bord haut pendant 45 minutes.
= Fourrer la génoise refroidie d'une crème au beurre au praliné ( recette légère ci-dessous)
= Pour la génoise.
250 grammes de sucre,
200 grammes de farine,
200 grammes de beurre fondu,
parfum vanille en poudre, et 7 oeufs entiers.
Fouetter sur feu doux le sucre et les oeufs; quand la pâte est mousseuse et tiède, y mêler à la spatule la farine tamisée et le beurre fondu.
Pour conserver la légèreté à la génoise, le mélange doit être fait délicatement et lorsque tout est mélangé on cesse de tourner la pâte.
Cuire à four doux, 45 minutes.
= Pour la crème au beurre pralinée. (recette simple et légère)
125 grammes de beurre
Même quantité de crème vanillée un peu épaisse que l'on incorpore au beurre ramolli jusqu'à ce que le mélange soit assez sucré.
Bien fouetter, en ajoutant 100 grammes de pralin réduit en poudre.
pour 6 personnes
-3 souris d'agneau
- 4 échalotes roses
- 12 figues fraiches
- 125 g d'amandes émondées
- 2 c. à soupe de miel liquide
- 1 c. à café de graines de coriandre
- 1 c. à café de graines de cumin
- 4 c. à soupe d'huile
- 3 brins de coriandre fraiche
- Sel, poivre
Pelez et émincez les échalotes.
Concassez les graines de coriandre.
Chauffez l’huile dans une grande cocotte. Posez les souris et faites-les colorer. Quand elles ont pris une belle couleur dorée, retirez-les de la cocotte.
Mettez les échalotes à blondir dans la cocotte en remuant 2 min.
Remettez les souris, versez 2 verres d’eau, ajoutez les amandes, les graines de coriandre et de cumin.
Salez et poivrez, couvrez. Baissez le feu et faites confire à petit feu 1 h 30 en retournant les souris régulièrement. Rajoutez un peu d’eau en cours de cuisson si nécessaire.
Pendant ce temps, coupez les figues en deux et réservez-les au frais.
Vingt minutes avant la fin de la cuisson, ajoutez les figues.
En fin de cuisson, arrosez de miel, mélangez délicatement, poursuivez la cuisson 5 min à feu un peu plus vif.
Disposez les souris dans un plat, ajoutez la garniture de fruits et arrosez du jus de cuisson.
Décorez de coriandre fraîche et servez aussitôt.
préparation : 10 mn
Cuisson : 10 mn
ingrédients (pour 4 personnes) :
3 oranges peu acides (ou 1/4 de litre de jus)
le zeste d'une orange
3 cuillères à soupe rases de Maïzena (soit 20 g)
100 g de sucre
3 oeufs
Préparation :
Dans une casserole, mélangez la Maïzena avec les jaunes d'oeuf, le jus et le zeste d'orange et 75 g de sucre.
Faites chauffer en remuant avec une cuillère en bois. Retirez du feu après quelques secondes d'ébullition.
Laissez tiédir en remuant de temps en temps pour éviter la formation d'une peau.
Battez les blancs en neige ferme avec le reste du sucre : incorporez-les sans les casser, à la préparation à l'orange.
Versez dans une coupe et mettez plusieurs heures au réfrigérateur.
Servez très frais, seul ou en accompagnement d'un dessert au chocolat noir.
pour 6 personnes
prep : 25 min
cuis : 45 min
ingrédients :
1 kg de poireaux , 1 oignon, 1 échalote
3 oeufs entiers , 25 cl de creme fraiche épaisse
1 demi cube de bouillon de volaille
1 cuil à soupe de curry
1 pincée de paprika
Nettoyez lzs poireaux. Coupez les en rondelles. Pelez et émincez l'oignon et l'échalote.
Faites fondre le beurre dans une poéle . Mettez-y l'oignon et l'échalote à revenir tout en remuant avec une cuillere en bois,pendant 2 à 3 min. ajoutez les rondelles de poireaux. Laissez-les dorer , toujours en mélangeant.
Pendant ce temps, chauffez 1/2 verre d'eau avec le cube de bouillon. Versez cette préparationsur les poireaux? Cuisez 5 minutes à couvert. Salez et poivrez. Saupoudrez de curry et de paprika. Mélangez. Poursuivre la cuisson pendant 10 min environs.
Battez les oeufs avec la créme fraiche Assaisonnez. Préchauffez le four à th,6- 180C°.
Répartissezles poireaux dans des ramequins. Ajoutez la préparation à la créme et aux oeufs. Enfournez 25 min. Servez aussitot avec des brochettes de volaille
Bon apptit
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