je vient d'apprende le décés d'une grande dame du cinéma qui nous laisse de beau films
Le jour où l’on s’est rencontré,
Si j’avais su ce que je découvrirai
Heureux, qui de la SagesseAttendant tout son secours,N'a point mis en la RichesseL'espoir de ses derniers jours.La mort n'a rien qui l'étonne ;Et dès que son Dieu l'ordonne,Son âme prenant l'essorS'élève d'un vol rapideVers la demeure, où résideSon véritable trésor.De quelle douleur profondeSeront un jour pénétrésCes insensés, qui du monde,Seigneur, vivent enivrés ;Quand par une fin soudaineDétrompés d'une ombre vaine,Qui passe, et ne revient plus,Leurs yeux du fond de l'abîmePrès de ton trône sublimeVerront briller tes Elus !Infortunés que nous sommes, Où s'égaraient nos esprits ?Voilà, diront-ils, ces hommes,Vils objets de nos mépris,Leur sainte et pénible vie Nous parut une folie. Mais aujourd'hui triomphants, Le Ciel chante leur louange,Et Dieu lui-même les range Au nombre de ses Enfants.Pour trouver un bien fragileQui nous vient d'être arraché, Par quel chemin difficile Hélas ! nous avons marché !Dans une route insenséeNotre âme en vain s'est lassée,Sans se reposer jamais, Fermant l'oeil à la lumière,Qui nous montrait la carrière De la bien-heureuse Paix.De nos attentats injustesQuel fruit nous est-il resté ?Où sont les titres augustes,Dont notre orgueil s'est flatté ?Sans amis, et sans défense,Au trône de la vengeanceAppelés en jugement,Faibles et tristes victimesNous y venons de nos crimesAccompagnés seulement.Ainsi d'une voix plaintive Exprimera ses remords La Pénitence, tardive Des inconsolables Morts. Ce qui faisait leurs délices,Seigneur, fera leurs supplices. Et par une égale loi, Tes Saints trouveront des charmes Dans le souvenir des larmes Qu'ils versent ici pour toi.
Pour 4 pers, prep 10 min, cuis 1 heure
1 gigot d'agneau 800 g, 4 gousses d'ail, 10 cl de creme liquide, 10 cl de lait, 3c. à café de fond de veau maggi, 2c à café de moutarde à l'ancienne, 2c àcafé de moutarde forte, sel, poivre
125g de chocolat noir, 125 g de beurre,+ 20 g pour le moule, 125 de sucre,3 oeufs,60g de farine,20 g de noisettes en poudre, 1 cuil à café de levure. Pour le déglaçage 100 de chocolat noir 30g de beurre
A quatre heures du matin, l'été,Le sommeil d'amour dure encore.Sous les bosquets l'aube évaporeL'odeur du soir fêté.Mais là-bas dans l'immense chantierVers le soleil des Hespérides,En bras de chemise, les charpentiersDéjà s'agitent.Dans leur désert de mousse, tranquilles,Ils préparent les lambris précieuxOù la richesse de la villeRira sous de faux cieux.Ah ! pour ces Ouvriers charmantsSujets d'un roi de Babylone,Vénus ! laisse un peu les Amants,Dont l'âme est en couronne.Ô Reine des Bergers !Porte aux travailleurs l'eau-de-vie,Pour que leurs forces soient en paix
A Dunkerque, quand vient le Carnaval,On est tous joyeux comme des cigales,On se grime, on s’met de la peinture,On s’en fout plein, plein la fégure,Pn s’habille avec des vieux habits,Et on sort son grand parapluie,Avec tout ça on est paré pour la carnaval,Et l’boulot, bin on s’en fiche pas mal,On est heureux, on est heureux,Elle peut dire tout c’quelle veutMais dans la bande ,on est heureux,On est heureux, on est heureux,Elle peut dire tout c’quelle veut,Mais nous on est heureux,A Dunkerque, quand vient le Carnaval,On est tous joyeux comme des cigales,On se grime, on s’met de la peinture,On s’en fout plein, plein la fégure,Pn s’habille avec des vieux habits,Et on sort son grand parapluie,Avec tout ça on est paré pour la carnaval,Et l’boulot, bin on s’en fiche pas mal,
Son origine remonterait au XVIIe siècle avec un document officiel une ordonnance datant du 16 janvier 1676 règlementant les festivités.
eh oui la tradition veux que nous faisiont des crepes pour la chandeleur eh bien voila c'est fait j'en aie fait pour ce soir pour dinez